Par Jean-Baptiste Phaneuf
Publié dans Le Courrier de Saint-Hyacinthe le 15 octobre 1997.
À la fin des années 50, survinrent des événements de nature à ralentir les progrès de l’École de médecine vétérinaire. Plusieurs professeurs, insatisfaits de leurs conditions, manifestèrent leur désagrément en quittant la maison. Depuis son installation à Saint-Hyacinthe, l’école avait fait des efforts pour suivre dans une courte période les progrès importants survenus dans le développement des sciences biologiques (...)
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Articles
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L’École de médecine vétérinaire de la province de Québec (2)
13 novembre 2017, par Paul Foisy -
L’École de médecine vétérinaire de la province de Québec (3)
13 novembre 2017, par Paul FoisyPar Jean-Baptiste Phaneuf
Publié dans Le Courrier de Saint-Hyacinthe le 22 octobre 1997.
C’est en mars 1969 que l’École de médecine vétérinaire devint officiellement l’École de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal, dont elle allait devenir une faculté quelques années plus tard. L’Université par contrat avec le gouvernement devenait propriétaire du terrain, des bâtiments et avait la responsabilité de plus de 22 nouveaux professeurs - les 22 sur la mosaïque et les quelques autres aux études. (...) -
L’École de médecine vétérinaire de la province de Québec (1)
7 novembre 2017, par Paul FoisyPar Jean-Baptiste Phaneuf
Publié dans Le Courrier de Saint-Hyacinthe le 8 octobre 1997.
Il y aura bientôt cinquante ans (en octobre 1997), l’honorable Laurent Barré, ministre de l’Agriculture, faisait l’inauguration de l’École de médecine vétérinaire à Saint-Hyacinthe. Dans son discours, il rappela que les PP. Trappistes, responsables de l’enseignement vétérinaire, lui avaient demandé, deux ans plus tôt, de prendre la direction de l’école et de la transporter ailleurs. Son choix s’est arrêté sur (...) -
L’École de médecine vétérinaire de la province de Québec (4)
13 novembre 2017, par Paul FoisyPar Jean-Baptiste Phaneuf
Publié dans Le Courrier de Saint-Hyacinthe le 29 octobre 1997.
À la fin des années 70, la nomination d’un vice-doyen à la recherche montre l’importance que la faculté attachait à ce secteur; celle d’un directeur administratif est garant de son développement continu. Le manque d’espace favorisé par l’augmentation des étudiants au premier et au deuxième cycle se faisant sentir au point d’être un obstacle au progrès prévu. Il fallait agrandir, mais comment ? De là l’aménagement (...)