Par Robert Lalonde
Publié dans le Courrier de Saint-Hyacinthe le 4 juin 2015
1982 : Mandat est donné à la firme d’architectes Cayouette et Saia pour rénovation de l’édifice du marché. 1983 : Nouveau mandat à la même firme pour compléter l’esquisse et estimation précise du coût des travaux.
1984 : Subvention de 400 000,00 $ de l’OPDQ, Office de Planification et de Développement du Québec. Les appels d’offres sont rejetés par la Ville. Le tout étant trop dispendieux. Trois soumissionnaires : Yves (...)
Accueil > Mots-clés > Catégorie Publications > marché centre
marché centre
Articles
-
Le marché-centre ce mal aimé, ce méconnu (5)
8 juillet 2015, par Paul Foisy -
Le marché-centre ce mal aimé, ce méconnu (1)
8 juillet 2015, par Paul FoisyPar Robert Lalonde
Publié dans le Courrier de Saint-Hyacinthe le 7 mai 2015
Cette publication est une transcription de la conférence de monsieur Robert Lalonde présentée au Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe, le 17 janvier 2006. Monsieur Lalonde a remis son texte manuscrit au Centre avec droit d’utilisation, il est décédé le 26 septembre 2012.
Mesdames, Messieurs,
Cette conférence n’est pas un règlement de comptes avec la Ville, ni aucune autre personne. Dans la mesure du possible, (...) -
Les beaux légumes!
9 septembre 2021, par Martin OstiguyPar Daniel Girouard
Septembre annonce la fin de l’été. Pour ceux et celles qui supportent mal les grandes chaleurs, plutôt intenses cette année, l’automne apporte des températures plus agréables.
C’est aussi la période des récoltes, souvent très généreuses sur nos terres fertiles. Il n’y a qu’à parcourir les étals des maraîchers du Marché-centre pour constater l’abondance des produits frais disponibles. Peu importe la ville ou l’époque, le marché a toujours été un lieu de rencontres et d’échanges pour ses (...) -
Le marché-centre ce mal aimé, ce méconnu (6)
8 juillet 2015, par Paul FoisyPar Robert Laflamme
Publié dans le Courrier de Saint-Hyacinthe 18 juin 2015
1989 : Au début de janvier, par inadvertance, Marcel Gosselin tombe dans le trou de l’élévateur, rue Saint-François, et décède le 2 mars suivant.
Le concept du marché tel qu’existant à ce moment était peut-être dépassé. Suite à une visite en Europe et à Boston, un comité suggère un marché piétonnier à l’européenne. Le principe fait peur et suscite un tollé de protestations de tous les locataires, intérieurs et extérieurs. Gérard (...) -
Le marché-centre ce mal aimé, ce méconnu (3)...
8 juillet 2015, par Paul FoisyPar Robert Lalonde
Publié dans le Courrier de Saint-Hyacinthe le 21 mai 2015.
Jusqu’au début des années 1960, les gens de « Goose Village » venaient faire leurs emplettes au marché, principalement chez Arthur Gosselin. C’était drôle à voir : trois rangées de clients qui attendaient pour être servis, ça faisait penser à la communion autrefois quand les églises étaient pleines le dimanche. « Goose Village » ou « Village aux Oies » était situé en arrière des abattoirs de « Canada Pakers Ltd » près du pont (...) -
Le marché-centre ce mal aimé, ce méconnu (4)
8 juillet 2015, par Paul FoisyPar Robert Lalonde
Publié dans le Courrier de Saint-Hyacinthe le 28 mai 2015.
En 1961 : Le 7 février, une requête des bouchers soumise par l’entremise de Me Léon Nichols, avocat, s’oppose à ce que soit amendé le règlement 575, relativement à l’interdiction de la vente de viande de boucherie, de charcuterie et de volaille dans le secteur borné par les rues Hôtel-Dieu, Girouard, Sainte-Marie et Saint-Paul, y compris les deux côtés des dites rues.
Les pressions étaient fortes à ce moment-là pour (...) -
Le marché-centre ce mal aimé, ce méconnu (2)
8 juillet 2015, par Paul FoisyPar Robert Lalonde
Publié dans le Courrier de Saint-Hyacinthe le 14 mai 2015.
En 1935 : il y a construction de vespasiennes au centre du marché, côté est, Saint-Simon.
En 1941 : le gouvernement fédéral, en temps de guerre, crée la Commission des Prix et du Commerce. Apparaissent alors les coupons de rationnement et la visite occasionnelle d’inspecteurs fédéraux. Cette Commission sera abolie en 1951.
En 1945 : la Ville décide de transporter les vespasiennes à l’extérieur, côté sud, rue (...)